Turbidité des effluents de laiterie

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Sujet

Turbidité des effluents de laiterie

il y a 19 ans
Inscrit depuis 21ans Desinscrit

Desinscrit «Autre»

Bonjour à tous! Etant maintenant en stage dans une IL (industrie laitière) en angleterre, je fais parti d'un projet de controle et réduction des rejets d'eau usées, et mon problème c'est que je ne sais pas quoi choisir! Je dois trouvé un moyen de differencier une eau blanche (souvent de pré-rinçage de NEP) de la solution acide qui la suit. Pour cela, j'ai pensé à un capteur avant une valve qui envois le liquide soit dans un tank de stockage (destiné à l'alimenttion porcine), soit à l'égout (comme c'est fait actuellement). Un débit-mètre massique (usant du principe de la force de coriolis) ou un turbidimètre (refractométrie). Le problème supposé par le turbidimètre est que la lentille, même si elle est dans la parois du tuyau, pourrait s'obstruer dès le premier passage de matières grasses; or si j'attends l'acide du Nettoyage en place, une petite quantité de cet acide sera mélangé aux liquides stockés dans le tank (les cochons riquent de ne pas trop apprécier...). J'aimerai savoir si je me fais trop de soucis par rapport à cette lentille, car un représentant m'a affirmé que cela marchait quand même, sans trop de problème d'obstruction de lentille, mais je ne lui fais pas trop confiance (donc j'écris ici mon petit message) ou alors si je dois abandonner cette idée de turbidimètre et me concentrer sur le débit mètre massique? Merci pour vos réponses.
il y a 19 ans
Inscrit depuis 21ans Desinscrit

Desinscrit «Autre»

votre solution est la mesure de conductivité inductive.
il y a 19 ans
Inscrit depuis 21ans Desinscrit

Desinscrit «Autre»

La conductivité est elle vraiment un indicateur fiable, étant donné qu'elle n'est pas forcement connue pour l'eau de prérinçage, et que le lait mélangé (ou le produit) n'est pas non plus connu. Autre point qui me cause du soucis, c'est l'ampleur de ces variations, sont-elles assez significatives pour être prises en comptes et être différenciés de simples variations de la teneur en ions (quelconques) de l'eau de rinçage? Etant donné que l'un de mes principaux objectifs est de différencier de l'eau claire de l'eau blanche, est-ce vraiment "la solution"?
il y a 19 ans
Inscrit depuis 20ans ZOULE

ZOULE «Resp. instrumentation»

Bonjour, j'opterais, s'il n'est pas encore trop tard pour répondre, pour une mesure de turbidité avec un écoulement gravitaire en dérivation sans contact avec les lentilles de visée. Il me semble que c'est le principe des turbidimètres SIEGRIST. A vérifier. Bonne chance.
il y a 18 ans
Inscrit depuis 19ans chrisv

chrisv «Technico-commercial»

Bonjour, je ne sais pas s'il est trop tard pour répondre, mais il me semble, si j'ai bien compris, que l'on doit séparer une eau couleur blanc d'une solution acide, a priori transparente. On pourrait donc faire une mesure d'absorption de la lumière directe. Pour s'affranchir du pb des matières grasses, il existe effectivement des capteurs de turbidité, couleur, concentration incorporant un système d'auto-nettoyage des fenêtres de mesure par jet d'eau ou d'air sous pression. La marque Monitek notamment ou Sensortechnik répondent à ces critères.